Astuces en suite d'atricles.
Chacun de nos organes est associé à une émotion, ainsi lorsqu'un organe disfonctionne, vous allez forcément avoir l'émotion qui y est associée qui sera impactée. La dépression peut prendre sa source dans un l'intestin en détresse. L'hormone du bonheur, la sérotonine, est produite à travers le gros intestin. À partir du moment où les intestins sont encombrés, disfonctionnants, encrassés, il y a perte d'énergie. Chaque organe possède aussi un certain taux d'énergie dont notre entrain, nos envies, notre libido dans le sens large du terme vont aussi être impactés. L'intestin grêle lui est associé au coeur et le coeur est l'empereur des émotions donc évidemment que la digestion et les émotions sont liées.
Certains scientifiques appelle la maladie d'Alzheimer, le diabète de type 3 car ce qu'on voit d'un point de vue biologique dans le cerveau d'un patient atteint, ce sont des symptômes assez similaires à quelqu'un qui a un diabète de type 2 notamment la glycation, résistance à l'insuline, inflammation et problèmes dans les mitochondries. Les mitochondries sont les petites usines dans nos cellules qui transforment le glucose en énergie, si elles fonctionnent bien nous avons de l'énergie, tout va bien, car les mitochondries aiment recevoir un flux constant et stable de glucose mais lorsqu'elles ont à faire à des pics, elles stressent et pour se protéger elles s'arrêtent, ce qui provoque chez nous une grosse fatigue et du brouillard mental. Lorsqu'on est sur des montagnes russes glycémiques, après les pics, s'ensuit toujours une descente rapide en dessous de notre seuil normal, notre cerveau qui régit les fringales, vous envoie alors le message de remanger du glucose, le cercle infernal commence car biologiquement les montagnes russes glycémiques augmentent les fringales et homonalement les pics-creux peuvent engendrer des dérégulations, impacter le sommeil, accélérer le vieillissement de la peau, faire pousser de la moustache chez les femmes. Beaucoup de symptômes lourds de la ménopause sont liés aux pics de glucose tout comme une certaine infertilité ou/et les pertes de cheveux ... On croit à tort qu'il n'y a que les diabétiques qui doivent faire attention à leur taux de glucose en réalité, ça nous concerne tous. Le glucose que l'on trouve dans les féculents et les sucres (fruits, desserts, bonbons, jus de fruit, sirops...), nous en avons besoin, de notre cerveau en passant par notre coeur, nos muscles, ..., c'est une mollécule essentielle à la vie.
Les plantes ont un besoin vital d'eau pourtant si je leur en donne trop, elle meurt. En cent ans, nous avons fait fois dix notre consommation de sucre. Chaque plante, chaque animal a besoin de glucose pour vivre pourtant tout être vivant, y compris l'humain, n'a pas besoin d'en ingérer pour en disposer puisque c'est tellement essentiel qu'à partir de n'imorte quel groupe d'aliment, l'organisme va en fabriquer. Le dauphin mange du poisson pourtant le glucose lui est indispensable pour chacune de ces cellules donc ce n'est pas le glucose qui est un problème pour l'humain, pour autant qu'il ait une alimentation de qualité et que l'équilibre dépense énergétique et apports nutritionnels soient en équilibre, ce qui pose problème de santé ce sont les pics de glucose. Même les prédispositions génétiques ne sont pas une fatalité car les pics de glucose agissent comme un activateur mais selon comment nous conduisons notre vie, détermine beaucoup de choses.
Des expériences ont été faites par une entreprise privée dans le but de vendre un outils pratique aux personnes diabétiques. Pour tester, la firme a recruté des volontaires de leur entreprise, sur qui ils ont installé des capteurs de glycémie. Ces personnes voyaient en direct sur leur téléphone leur courbe glycémique se dessiner. En tant, que non diabétique, ces personnes-test ont pu constater un rapport flagrant entre leurs pics rapides suivis inmanquablement des chutes glycémique et leurs états de mal être, non seulement physique mais également mental. Les jours stables, sans montagnes russes de glycémie, ils ressentaient alors plus de clarté dans leur cerveau, plus d'apaisement, plus connectés à leur corps et beaucoup voir pas du tout de fringale, ni d'envie de sucre. Les liens ont été établis, certifiés par plusieurs autres expériences au quatre coin du monde mais cela rencontrent beaucoup de réticences au vue des enjeux économiques. Il n'y a pas si longtemps, on nous certifiait qu'il n'y avait aucun lien entre le cancer et l'alimentation... Donc à partir de ces études, les pics glycémiques n'ont pas qu'un impact sur les diabétiques mais ont en plus une influence néfastes sur les système vitaux de notre corps : sur notre peau, sur les inflammations, sur le vieillissement interne et externe, sur la santé mentale, sur les hormones, sur le sommeil, sur le développement de prédiabète et de diabète de type 2, ...
Tester quelques astuces simples à mettre en place
Puisqu'il vaut mieux prévenir que guérir, comment gérer ses pics et ses creux glycémiques provoquant des inconforts handicapants jusqu'à des maladies mortelles.
Manger dans le bon ordre : les légumes en premier
Lors d'un repas, les légumes en premier puis les protéines et les graisses et ensuite les féculents et les sucres, comme les desserts. Que ce soit par une entrée comme une salade ou directement dans votre assiette. Pas besoin de complètement scinder son assiette mais garder en tête que les légumes en premier, c'est extrêmement important. Dans une assiette de brocolis riz poisson avocat. On mangera quelques bouchées de brocolis d'abord puis le poisson-avocat puis les féculents dont ici, le riz. Manger trois petites tomates cerise ou un bout de concombre fait très bien l'affaire, tout comme vous pouvez assaisonner vos légumes avec un peu de yaourt grec et quelques brins d'aneth ou les faire rôtir ou en salade... cru ou cuit peu importe, mais les légumes en premier....Évitez les soupes qui ayant été mixées ont vu leur fibres être pulvériser donc inéficaces contre les pics.
Les études scientifiques montrent qu'en mangeant les aliments d'un repas dans un ordre spécifique, on peut réduire le pic de glucose du repas jusqu'à 75% sans changer ce qu'on mange. Les légumes contiennent des fibres et lorsqu'on les mange en premier, elles viennent tapisser notre système digestif et créent une sorte de bouclier protecteur qui fait que les molécules de glucose arrivant plus tard dans le repas passeront moins rapidement dans le sang ne produisant ainsi pas de pics glycémiques si néfaste à notre santé.
Ne plus compter les calories
Si on compare deux livres du même nombre de pages et que parce qu'ils ont le même nombre de pages, ce sont les mêmes livres, c'est comme dire que deux aliments qui ont le même nombre de calories sont les mêmes...
Pour mesurer les calories d'un aliment, on fait brûler les aliments et on en mesure la chaleur (énegie) qui s'en dégage. Donc si je brûle un cookie et un avocat et qu'ils ont le même nombre de calories cela ne me dit rien des molécules contenues dans l'aliment. Comme le nombre de pages d'un livre ne nous dit absolument rien de ce que contient ce livre, sa sensibilité, ses messages. Il faut réapprendre à apprivoiser son alimentation sous l'angle nutritionnel. Est-ce que cet aliment est fait de féculent et de sucre et va provoquer un pic ou est-ce un aliment fait de protéines, matière grasse qui va garder ma glycémie stable. Deux personnes peuvent manger exactement le même nombre de calories par jour mais si une ne mange que des féculents et des sucres et vit sur des montagnes russes glycémiques, elle aura des inflammations, vieillir plus vite intérieurement et extérieurement, être pleine de fringales, être crevée, risque d'avoir des hormones déréglées et de se rapprocher dangereusement du diabète de type 2.. alors que celui à nombre de calories égales, tout en gardant un glycémie stable sera en bien meilleure santé physique et mentale. Les calories ne nous disent rien de l'impact sur notre santé. Les calories sont une bonne façon d'apprivoiser juste la quantité d'un aliment en comparant 300 calories d'un cookie, avec 3000 calories de 10 cookies. Comprendre ce qu'il y a dans les aliments, nous donne une position de puissance de choix pour notre mieux être. Les sucres lents sont accompagnés de fibres (céréales complètes, légumineuses, pomme de terre..) donc sont moins rapide à passer dans le sang et créent un pic plus faible que les sucres rapides (tous les produits à base de farine blanche comme croissant, baguette ainsi que confiture, jus de fruit, gâteau, ...).
Le premier repas de la journée sera salé
Manger sucré libère de la dopamine, l'hormone du plaisir. Les être humains adorent la dopamine, d'ailleurs beaucoup de drogues illégales libèrent de la dopamine dans le cerveau. Donc lorsqu'on mange quelque chose de sucré, on se sent bien, réveillé, plein d'allant.. on obtient du plaisir mais on fatigue nos mitochondries et notre corps ne fabrique pas bien de l'énergie alors on continue de manger du sucre en pensant que ça va nous redonner de l'énergie et la fatigue chronique s'installe... Le premier repas de la journée que ce soit à 06h00, 11h00 ou 13h00 peu importe, le premier repas doir être salé. Ce qui se faisait avant avec bon sens et avant que l'ère industriel décrète que le petit déjeûner devait être un dessert si possible accompagné d'un jus d'orange. C'est une invention relativement récente crée par l'industrie agroalimentaire... (Permettez-moi, une petite déduction personnelle : le sucre libérant l'hormone du plaisir devient addictif, provoque des pics et chutes de glycémie qui induisent fringales donc consommation,qui induisent problèmes de santé donc consulatation et achats de médicaments...). Le petit déjeûner sucré va déclencher des monatagnes russes pour toutes la journée car après la nuit notre système est complètement vide ou le devrait "manger comme un roi au petit déjeûner, comme un prince au dîner et comme un pauvre au souper" car notre système digesif ralentit (mauvaise nuit pour vous) voire ne travaille pas du tout pendant la nuit, et donc en mangeant sucré sur un estomac vide, vous vous conditionnez pour toute la journée. On se crée l'addiction au sucre.
Petit déjeuner salé sera idéalement chaud penser à s'hydrater si possible dès que vous vous levez puis laisser passer un peu de temps (en vous préparant par exemple) afin de ne pas trop dilué les sucs digestifs pour les personnes avec des problème de digestion. Manger quelques petits légumes avec des oeufs brouillés ou des reste du souper ou du diner de la veille ou un yaourt avec du beurre d'amande si vous voulez des féculents comme le pain folcons d'avoine, pomme-de terre, se sera en accompagnement et en fin de repas si on veut vraiment quelque chose de sucré, pour le goût les fruits entiers sont très bien. Il faut savoir que les fruits, bien qu'ils soient un cadeau de la nature, les fruits d'aujourd'hui dans le commerce, sont des fabrications humaines, car pour les rendre plus sucré avec une peau plus fine, avec moins de fibres, plus gros donc plus agréable à manger et à digérer. Les fruits sont toujours un bon aliment à manger mais il faut éviter de les manger sur un estomac vide. Si on veut manger une banane à goûter, on peut l'accompagner d'une carotte ou de quelques amandes, en ajoutant quelques vêtement sur les sucres, cela va réduire le pic. Les fruits sucrés ont toujours existés, pourtant il faut comprendre qu'à l'époque où la nourriture était difficile à trouver, notre corps envoyait le signal de la faim provoqué par une chute de glucose dans le sang, il fallait manger quelque chose de sucré le plus rapidemnent possible. Le problème, c'est que nous enregistrons ces vagues plusieurs fois par jours et qui nous épuises, ne se produisent plus du tout pour un manque de nourriture mais parce que nous consommons trop de sucre (féculents et sucre). La bonne nouvelle, c'est que tous les matins le compteur se remet à zéro. N'hésistez pas à vous inspirer des petits déjeuners d'autres cultures pour vous donner des envies.
Le vinaigre
Le vinaigre et les choses qui contiennent du vinaigre, aide notre taux de glucose. Le vinaigre contient de l'acide acétique qui ralentit la vitesse à laquelle le glucose arrive dans le sang. Il envoit également le message à nos muscle d'absorber plus de glucose. Le pic de glucose est donc réduit. Dans la pratique, une demie heure avant le repas, on peut boire un grand verre d'eau avec une cuillère à soupe de vinaigre dedans. Si vous vous trouvez en face d'une situation ou vous allez manger quelque chose provoquant un pic de glucose, vous pouvez avoir sur vous une petite topette de vinaigre qui vous permettra de prendre votre boisson au vinaigre avant et aider votre corps. Et bien évidemment l'entrée avec la petite salade est parfaite avec les fibres en plus. Si à quatre heure vous avez envie de chocolat manger un cornichon puis vous attendez quelques minutes jusqu'à 20mn et vous pourrez manger votre chocolat sans pics de glycémie. Si je n'ai pas pris mes cornichons ou ma boisson vinaigrée avant, je peux dans les 20 minutes qui suivent encore me ratrapper. Ce sera un peu moins efficace mais cela aura quand même de l'effet.
Le mouvement
Chaque cellule du corps utilise donc du glucose dont nos muscles. Lorsque nous bougeons 10mn après un repas, nos muscles en se contractant vont avoir besoin de glucose et le premier endroit où ils vont aller le chercher, est le sang. Donc si nous venons de manger quelque chose qui crée un pic, en utilisant nos muscles après un repas, on va réduire le pic du repas. Par exemple, on peut marcher 10mn, ranger sa maison, danser... Si vous n'en avez pas la possibilité et que vous devez rester assis, vous pouvez actionner les muscles de vos mollets en soulevant les talons et vous mettre sur vos orteil tout en restant assis et cela pendant 10mn, talons-pointes, talons-pointes... Les mollets contiennent un muscle nommé le muscle solaire qui est super fort pour absorber du glucose. À compter dès la fin du repas et jusqu'à 1h30 après, vous pouvez actionner vos muscles une dizaine de minutes afin qu'ils puissent absober un peu du glucose.
https://www.youtube.com/channel/UCsQdi6X-12eUKBBBze46STA
Je vous rappelle que ces astuces servent à éviter les pics glycémiques et ne sont pas des astuces pour pouvoir manger plus.